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Leonidas, une franchise prospère au goût puissant de chocolat

Leonidas

Fondée en 1913, la marque de chocolat belge « 100% beurre de cacao pur » s’est forgée, au fil des ans, une réputation internationale. Consacrée « meilleur franchiseur » de l’année, la maison Leonidas attire plus que jamais les candidats franchisés. Mise en bouche avec Julie Vanconingsloo, une indépendante ambitieuse qui nous fait découvrir un métier aux saveurs très parfumées. Et un appétit d’entreprendre pleinement assumé.

Leonidas

Un réseau de points de vente en pleine ébullition

La maison Leonidas poursuit le développement de son réseau de points de vente (1300) répartis dans 40 pays, dont plus de 400 espaces rien qu’en Belgique !

La marque a d’ailleurs clôturé l’année 2023 avec le meilleur chiffre d’affaires de son histoire, en croissance de 11% et une hausse encore plus prononcée en Belgique (+13,6 %). Une vitalité qui devrait se poursuivre en 2024, grâce aux ambitions affichées par son CEO, Philippe de Selliers, et l’ouverture de 50 magasins en France et aux Pays-Bas. Dont une majorité de vitrines franchisées. 

Mais qu’est-ce qui fait tant courir ces indépendants avides de chocolat ?

Une franchisée qui ne manque pas d’ambitions

Julie Vanconingsloo Leonidas

Julie Vanconingsloo revient sur son parcours professionnel qui l’a conduit à embrasser la franchise Leonidas dès son diplôme de l’école Hôtelière de Namur en poche. 

« Je me suis tournée par passion vers le monde des produits de bouches. Et surtout du chocolat », se souvient la jeune entrepreneure. 

Ses premières expériences comme vendeuse dans une chocolaterie artisanale lui ont permis d’apprendre les secrets de fabrication du chocolat. Un métier qui lui offre également l’occasion de s’épanouir en conciliant passion et service au client. 

Julie Vanconingsloo souhaite toutefois aller plus loin. Son tempérament d’entrepreneure la pousse à reprendre une boutique franchisée.

« J’ai eu l’opportunité, avec mon compagnon, de reprendre le point de vente Leonidas dans le centre commercial du Douaire à Ottignies. Nous avons immédiatement partagé les tâches administratives, la gestion des équipes, la logistique et l’organisation commerciale en boutique », explique l’indépendante. 

Après 4 ans d’expérience en tant que franchisés, les activités du couple débouchent sur la reprise de 4 autres points de vente, tandis qu’une 5ème boutique devrait suivre prochainement.

« Se tourner vers une franchise pour se lancer correspondait à nos attentes, compte tenu de l’encadrement proposé par la marque et de son marketing éprouvé. D’autant que nous étions en accord avec les valeurs de la marque », poursuit Julie Vanconingsloo.

Une autonomie grandement appréciée par les franchisés

C’est bien connu : chaque franchise entretient des relations particulières avec ses franchisés et offre des niveaux d’autonomie variables entre la maison-mère et le gérant indépendant.

De l’aveu de Julie Vanconingsloo, « Leonidas laisse une large autonomie aux indépendants ». Une liberté qui répond parfaitement aux attentes de la gérante et à sa soif de créativité dans le travail. « Même s’il y a des règles commerciales à suivre (nous ne pouvons pas vendre des chocolats d’une autre marque) et des stratégies marketing à respecter », nuance l’interviewée. 

« En revanche, nous pouvons proposer d’autres produits qui se marient avec le chocolat, comme des biscuits, des bonbons, ou même de la bière pour élargir notre gamme aux clients ».

Au quotidien, c’est avec son distributeur que la gérante partage ses contacts professionnels. Ainsi qu’avec les « District sales manager » qui ont pour mission d’accompagner les franchisés avec des conseils commerciaux et marketing tout au long de l’année. 

Ces précieux atouts offerts aux candidats franchisés 

Apports personnels, formations, coaching, audit commercial … L’encadrement des franchisés s’accompagne souvent de contreparties avantageuses de la part des franchiseurs. 

Pour se lancer, « il faut évidemment des apports personnels », rappelle Julie Vanconingsloo. En retour, Leonidas donne accès à une formation de départ avec un passage obligé en boutique pour se familiariser avec le métier. 

« Une plateforme en ligne propose des formations en continu sur les méthodes de ventes, le service à la clientèle, ou encore la gestion visuelle », développe la gérante. 

De son aveu, « la marque Leonidas apporte un excellent choix de produits, un réseau marketing et des packaging constamment renouvelés ». 

Mais également une « deuxième famille ». Car, l’aventure franchisée ne se limite pas à un job ! Il s’agit d’un investissement personnel où chacun remplit son rôle.

Au final, « tout se joue au « feeling » lors de la rencontre avec l’équipe de recrutement », estime Julie Vanconingsloo. 

« Du moment que le candidat franchisé est volontaire, dévoué et affiche un attrait pour ce domaine », précise la gérante.

« Meilleur franchiseur de l’année » 

Julie Vanconingsloo se rappelle avec émotion de sa sélection, proposée par la maison-mère, pour concourir au prix de « candidat meilleur franchisé ». Bien qu’elle n’ait pas obtenu le prix, il s’agissait d’une « réelle reconnaissance de la part de la marque pour couronner le dynamisme commercial des jeunes franchisés du réseau ». 

C’est finalement la maison-mère qui décroche, en 2024, le prix du « meilleur franchiseur de l’année ».

« Un prix parfaitement mérité », admet Julie Vanconingsloo. « Tous les critères ont joué en faveur du succès de la franchise », développe la gérante.

Malgré les crises Covid et énergétique, « Philippe de Selliers, CEO de Leonidas, a réussi à maintenir des prix compétitifs par rapport à d’autres marques, sans impacter la croissance de l’entreprise ».

Un métier attirant et plein d’opportunités 

Malgré la conjoncture économique difficile, il est toujours aussi passionnant d’embrasser une carrière de franchisé.

« Il n’y a pas de bon ou de mauvais moment pour se lancer comme indépendant lorsqu’on a une idée et l’ambition de réussir. La clé réside avant tout dans le travail », confie Julie Vanconingsloo. 

L’indépendante ne cache pas ses ambitions commerciales à court et moyen terme. « Nous conservons le même cap et prévoyons de reprendre une 5ème boutique cette année, tout en guettant toute autre opportunité, y compris celle de devenir distributeur ».

L’un des principaux défis réside toutefois dans le recrutement de personnel. « La reprise de certains magasins est conditionnée par la reprise de personnel existant et motivé », reconnaît l’entrepreneure.

La réussite d’une entreprise réside en fin de compte dans un travail d’équipe équilibré entre la direction et les employés. « Il faut savoir recruter des personnes ayant les mêmes valeurs que l’entreprise ».

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