Posted by : Carine Janssens
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PresseChez Intermarché, les adhérents sont bien plus que des chefs d’entreprise !
Intermarché fait partie du groupe « Les Mousquetaires » qui est actif dans 4 pays et rassemble 7 enseignes dans les domaines de l’alimentaire, l’aménagement de la maison et la mobilité. En Belgique, Intermarché représente près de 77 points de vente et affiche depuis 4 ans la meilleure progression du chiffre d’affaires dans le marché alimentaire. La franchise se distingue par un mode de fonctionnement dans lequel les adhérents participent activement à la gestion de leur groupe. Un élément qui a séduit Antoine Vilela, devenu directeur de l’Intermarché à Court-Saint-Etienne en novembre 2021.
Réorientation à 50 ans
Antoine Vilela a travaillé pendant plus de 30 ans dans le secteur des biens d’équipement industriels. Il a occupé différents postes en relation avec le marketing et les ventes, puis est devenu directeur commercial et de filiales. « J’ai toujours travaillé pour de grands groupes internationaux et, arrivé à l’âge de 50 ans, je n’étais plus vraiment en adéquation avec leur mode de fonctionnement », explique-t-il. « J’étais aussi très absent, je voyageais beaucoup et cela ne me convenait plus. »
Antoine Vilela s’est alors mis à explorer d’autres pistes professionnelles qui lui permettraient d’être son propre patron. Il a notamment envisagé de racheter une société de services active dans l’industrie : « Les démarches sont allées loin mais ce n’était finalement pas une bonne opportunité, surtout avec le Covid qui est arrivé juste après. » En parallèle, le quinquagénaire était aussi en discussion avec Intermarché et la crise sanitaire l’a conforté à se lancer dans ce secteur qui l’attirait et qui était peu impacté par le Covid.
Un parcours de formation bien tracé
Comme il était extérieur au groupe, Antoine Vilela est d’abord passé par un cabinet de sélection avant de suivre une formation de 6 mois au sein du groupe. « Intermarché dispose d’une structure de formation à Louvain-la-Neuve dont les moyens et la motivation de l’équipe ne cessent de croître, car le départ est primordial quand on devient franchisé. Le parcours de formation est bien tracé, avec une bonne méthodologie qui s’appuie sur la mise en situation avec des adhérents dans différents points de vente. On est directement dans le vif du sujet et cela m’a apporté des échanges très riches. »
Au terme de sa formation en mai 2021, Antoine Vilela désirait reprendre un magasin et il avait une idée bien précise : « J’ai toujours eu Court-Saint-Etienne en tête car c’est mon environnement, c’est là que je voulais participer à la vie locale et sociale. Je suis donc entré en contact avec l’adhérent qui gérait le magasin et, après plusieurs mois de négociations et de démarches diverses, j’ai pris les rênes de cet Intermarché en novembre 2021. »
Sentiment d’appartenance
Quelques mois plus tard, Antoine Vilela est parvenu à maintenir les objectifs qu’il s’était fixés dans son plan financier, et ce malgré une conjoncture désormais marquée par la flambée des prix de l’énergie et l’inflation. Son nouveau métier réclame en ce moment une implication 7 jours sur 7, mais Antoine Vilela ne regrette rien : « Cela répond vraiment à ce que je cherchais. J’aime la particularité d’Intermarché qui permet d’être chef d’un point de vente tout en participant activement aux décisions en amont. Le principe du tiers temps fait que nous consacrons deux jours par semaine au fonctionnement du groupe. En ce moment, je participe par exemple aux achats/ventes de la filière DPH (droguerie, parfumerie et hygiène). Je coordonne et supervise aux côtés des salariés permanents d’Intermarché Belgium tout en représentant les autres adhérents. »
Selon Antoine Vilela, l’implication des adhérents est le point fort de la franchise : « La devise des mousquetaires « un pour tous, tous pour un », s’applique vraiment chez Intermarché car nous sommes tous interdépendants. On collabore et communique beaucoup entre nous grâce aux outils mis à disposition par le groupe, et cela génère un vrai sentiment d’appartenance à une cause commune. Si j’ai besoin de conseils, j’ai l’embarras du choix ! Bref, il existe une fraternité et une solidarité qu’on ne retrouve pas dans les franchises avec une organisation verticale ou les chaînes commerciales dans lesquelles les membres se partagent juste un nom. »
« La devise des mousquetaires « un pour tous, tous pour un », s’applique vraiment chez Intermarché car nous sommes tous interdépendants. »
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