Posted by : Carine Janssens
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PresseFranchisé chez Jumbo : l’entreprenariat familial
Pour assurer sa croissance en Belgique, Jumbo mise sur des entrepreneurs enthousiastes. Il y a deux ans, Sebastien Sintobin a été le premier entrepreneur de notre pays à s’associer au n°2 de la distribution aux Pays-Bas.
Avec 31 nouveaux supermarchés en quatre ans, Jumbo est l’acteur qui connaît la plus forte croissance sur le marché belge. Pour continuer à ouvrir de nouveaux magasins dans les années à venir, l’entreprise familiale néerlandaise compte sur les franchisés. Sebastien Sintobin a été le premier entrepreneur à franchir le pas en 2021, transformant son supermarché de Lauwe en Jumbo. “Mon épouse Céline et moi-même sommes déjà la troisième génération de la famille à gérer un supermarché. Ce fut longtemps sous la bannière d’Alvo et, bien que j’apprécie toujours ce concept, le dynamisme et l’enthousiasme de Jumbo m’ont totalement séduit. Les résultats sont à la hauteur de nos espérances. Notre enseigne attire des clients de tous âges qui achètent chez nous produits frais et produits secs alors qu’auparavant ils venaient surtout pour les produits frais.”
Un solide soutien
Pour Sebastien, l’un des grands avantages de Jumbo est la liberté accordée aux franchisés. “Chez Jumbo, tout est négociable. Je trouvais important de garder ma propre boucherie. C’était nouveau pour Jumbo, mais ils ont été ouverts à mes arguments”, explique Sebastien. “Nous avons été soutenus sur tous les plans, y compris l’aménagement complet du magasin. Jumbo assure également le suivi de la gestion des stocks, ce qui me facilite la vie. Un autre grand avantage de Jumbo est qu’il emploie des personnes qui ont un passé d’entrepreneur. Leen Slachmuylders, gestionnaire de portefeuille, était directrice d’un supermarché SPAR. Grâce à ces personnes qui connaissent les ficelles du métier, Jumbo conserve un lien étroit avec les exploitants.”
Chez Jumbo, tout est négociable. Je trouvais important de garder ma propre boucherie. C’était nouveau pour Jumbo, mais ils ont été ouverts à mes arguments.
Sebastien Sintobin
EXPLOITANT JUMBO LAUWE
La liberté qu’offre l’enseigne néerlandaise se reflète également dans l’offre de Sebastien. Les achats propres sont plus élevés que chez d’autres franchiseurs. “Jumbo nous encourage à compléter l’offre fixe avec des produits locaux de votre choix. Dans notre rayon frais, par exemple, il y a des plats préparés du traiteur local et, en plus des pommes de terre Jumbo, j’en vends aussi du producteur qui travaille juste à côté. Ce sont des détails que les gens d’ici apprécient.”
Une véritable entreprise familiale
L’ancrage local est la priorité de Jumbo. Cela se traduit évidemment dans l’assortiment, mais aussi dans la grande convivialité et l’atmosphère familiale qui règnent dans les magasins et au siège. “Jumbo reste une véritable entreprise familiale. Quand les Néerlandais du service après-vente vous demandent comment vous allez, ce n’est pas une question de pure convenance. Ils sont sincères. Flamand occidental un peu rigide, il a fallu que je m’y habitue”, s’amuse Sebastien. “Aujourd’hui, je fais pareil avec mon personnel. Et nous prenons le temps de discuter avec les clients. Nous sommes un vrai magasin de quartier, mais un magasin qui a tout. Jumbo promet également de ne jamais laisser tomber un entrepreneur, et cela se sent.”
Pour Sebastien, il n’y a qu’un seul point à travailler : la notoriété. Si Jumbo est connu aux Pays-Bas, il ne l’est pas encore en Belgique. “C’est pourquoi je mets ‘Jumbo Supermarkets’ sur toutes mes communications. Les exploits du cycliste Wout Van Aert contribuent à la notoriété mais tout le monde ne fait pas le lien entre l’équipe cycliste Jumbo-Visma et le supermarché.” Sebastien n’hésite pas à recommander de devenir franchisé Jumbo. “Mais il faut être un vrai entrepreneur. Ouvrir un supermarché, ce n’est pas jouer à la marchande. Il faut réaliser un chiffre d’affaires annuel d’au moins dix millions d’euros, il faut savoir gérer le personnel, se tenir au courant de toutes les réglementations et travailler dur, 365 jours par an. Mais si vos efforts aboutissent à un magasin bien géré où les clients et le personnel se sentent à l’aise, cela en vaut la peine. Je n’hésiterais pas à ouvrir moi-même un ou plusieurs autres magasins dans la région.”
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